La république du bonheur – Ito Ogawa
Après un roman noir, voila un roman blanc, qui respire un bel optimisme, mais sans eau de rose, les difficultés sont bien là. La narratrice tient une petite papeterie et est écrivaine public.Elle reçoit donc des personnes pour écrire des lettres à des personnes, lettres qu’ils ne savent pas écrire. Le cas le plus intéressant est quand une personne souhaite que son mari défunt lui écrive une lettre….La narratrice rencontre un homme veuf et sa fillette et l’épouse, mais rien n’est simple. On sent la délicatesse des relations dans la société japonaise, non dénuée d’accès de moments de franchise. Pour couronner le tout, des moments très concrets de cuisine et d’observation de la nature. Reposant, mais aussi inspirant.


